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SOPHROLOGUE – RELAXOLOGUE – HYPNOTHERAPEUTE – OLFACTOLOGUE
C’est une méthode psychocorporelle, c’est-à-dire une technique qui sollicite à la fois le corps et l’esprit. La sophrologie puise ses fondements dans les techniques ancestrales issues du yoga, du bouddhisme, du zen. Elle permet de rétablir l’équilibre entre le corps et l’esprit par des techniques simples de relaxation, de bioénergie, …
Lire la suiteHolistique vient du grec “holos”, qui signifie “totalité”, “l’entier”.
L’approche holistique consiste à prendre en compte la personne dans sa globalité plutôt que de se focaliser sur un organe, un symptôme, ou une maladie …
Considérer les aspects physique, énergétique, psychique, mental, socio-culturel … amène le thérapeute à multiplier les angles de vue, à s’ouvrir aux différentes facettes du patient et l’accompagner au travers de diverses propositions, en adéquation avec ses attentes.
Les techniques que je vous propose sont basées sur la sophrologie, la méditation et diverses branches de la naturopathie (notamment utilisation des huiles essentielles et des bourgeons d’arbres).
La méditation n’a rien à voir avec la vie de moine ou ascétique qui cherche à se couper du monde comme c’est trop souvent perçu. Ce n’est pas non plus une croyance ou une religion …
C’est simplement l’accès à un détachement, une vigilance intérieure et une pleine conscience du moment présent.
Question : Pourquoi existe-t-il des techniques pour méditer ? Est-ce que s’asseoir sur un coussin et simplement être ne suffit pas ?
On peut citer une phrase de Jetsun Khandro Rinpoché, un des lamas tibétains les plus renommés vivant aujourd’hui : “La méditation, c’est simplement être, sans perturbations, dans la fraîcheur de l’instant, sans effort, sans étiquetage ni enregistrement, et sans désirs. Mais à cause de l’agitation mentale et de l’identification personnelle, il peut être difficile de simplement être. C’est pour cela que des techniques existent. Si vous me demandez comment méditer, je vous répondrai qu’il n’y a rien à faire. Si vous n’y arrivez pas, je vous enseignerai des techniques pour vous aider à ne rien faire.”
Il peut être facile de s’asseoir dans un endroit calme et de simplement être, cela devient plus compliqué quand on essaie de le faire dans la vie de tous les jours. Les techniques existent donc pour apprendre à retrouver notre état naturel, mais aussi pour pouvoir transposer cela dans la vie de tous les jours.
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La respiration est la base de la vie … Selon les cultures, on parle de respiration, de souffle, de prana, de chi …
Sur le plan physique, la respiration assume deux rôles : apporter de l’énergie au corps et le nettoyer de ses toxines.
Les techniques respiratoires sont un composant essentiel de bonne santé et de longévité. Quand nous travaillons sur la respiration, nous agissons sur ces deux fonctions essentielles pour l’organisme ; c’est la seule fonction physiologique réflexe sur laquelle nous pouvons agir de façon consciente.
Sur le plan émotionnel, toutes nos émotions (le stress, la peur, la colère, l’envie, la jalousie, la tristesse …) se traduisent par un schéma respiratoire (en état de stress par exemple, la respiration est courte, saccadée, placée uniquement dans le haut de la cage thoracique, inversement l’état de détente induit une respiration plus lente, profonde, abdominale). En modifiant notre respiration, on modifie l’aspect émotionnel : plus on respire lentement, profondément, plus on se sent calme et dans la bienveillance.
Bien respirer permet de gérer son stress, de calmer ses émotions et mieux faire face aux situations du quotidien.
La respiration est l’exercice de base de la sophrologie et du processus de relaxation.
Littéralement, la phytothérapie signifie « se soigner par les plantes »
Les plantes possèdent de multiples vertus très précieuses permettant de prévenir, de traiter, de soulager et de guérir.
Chaque plante médicinale possède ses propriétés, qui peuvent aussi différer en fonction de la partie de la plante utilisée :
les graines, les pétales, les bourgeons, le pollen, la sève, l’écorce, les feuilles ou bien les racines.
Le mode de préparation des plantes, lui aussi diffère : poudres, teintures mères, macérats, huiles essentielles, hydrolats.
On distingue différentes branches dans la phytothérapie :
. l’herboristerie (plantes fraîches ou séchées, sous forme de décoction, infusions, macérations, sirops)
. l’aromathérapie (les huiles essentielles et les hydrolats, les huiles végétales en support)
. la gemmothérapie (extraits de jeunes tissus végétaux comme les bourgeons)
L’aromathérapie est caractérisée par son efficacité et sa rapidité d’action, en lien avec la concentration de ses principes actifs, mais aussi par « l’intelligence » de la plante. Elle comprend les huiles essentielles et les essences (agrumes) ainsi que les hydrolats.
La gemmothérapie est caractérisée par ses formidables propriétés de régénération cellulaire et son action douce sur les symptômes chroniques.
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T2 J’ai été amenée, très jeune, à m’intéresser aux thérapies et méthodes naturelles de bien-être ; j’ai acquis la certitude, dès l’adolescence, que la santé commence par l’attention et le soin que l’on se porte.
Relaxation, yoga, utilisation des plantes, des huiles essentielles, homéopathie, … font donc partie de mon quotidien, j’ai toujours privilégié les soins naturels pour ma famille et mes proches.
La pratique de la sophrologie depuis une dizaine d’années m’a dévoilé de tels potentiels et bienfaits, qu’il m’est apparu comme une évidence de devoir transmettre ces approches à toutes celles et ceux qui sont en recherche de réflexion et d’action pour garder une parfaite santé ou pour l’améliorer.
Après avoir consacré une grande partie de ma vie professionnelle au monde de la banque, les valeurs qui y sont véhiculées aujourd’hui ne me correspondent plus, un autre chemin s’est ouvert devant moi …
En reconversion depuis quelques années dans les domaines d’aide au bien-être, à la santé physique et mentale, au développement personnel … je me suis formée à la Sophrologie à l’école du Dr Jean-Pierre HUBERT, fondateur de l’EDHES (Ecole Des Hautes Etudes de Sophrologie) et suis diplômée de l’école. Je suis également formée à l’Aromathérapie Quantique par le Dr PENOEL, et je continue diverses spécialisations dans les domaines de la sophrologie, la psychothérapie, la naturopathie, et des approches corporelles douces …
J’ai été amenée, très jeune, à m’intéresser aux thérapies et méthodes naturelles de bien-être et de soin. J’ai acquis la certitude, dès l’adolescence, que la santé commence par l’attention et le soin que l’on se porte.
Relaxation, yoga, utilisation des plantes, des huiles essentielles, homéopathie, … font donc partie de mon quotidien, j’ai toujours privilégié les soins naturels pour ma famille et mes proches.
La pratique de la sophrologie, depuis de nombreuses années, m’a dévoilé de tels potentiels et bienfaits, qu’il m’est apparu comme une évidence de devoir transmettre ces approches à toutes celles et ceux qui sont en recherche de réflexion et d’action pour garder une parfaite santé ou pour l’améliorer.
J’ai consacré la majorité de ma vie professionnelle au monde de la banque, les valeurs qui y sont véhiculées aujourd’hui ne me correspondent plus, un autre chemin s’est ouvert devant moi …
En reconversion depuis plusieurs années dans les domaines d’aide au bien-être, à la santé physique et mentale, au développement personnel, je me suis formée à la Sophrologie à l’école du Dr Jean-Pierre HUBERT, fondateur de l’EDHES (Ecole Des Hautes Etudes de Sophrologie) et je suis diplômée de cette école.
Je suis également formée à l’Aromathérapie Quantique par le Dr PENOEL et je continue un cursus d’aromathérapie en approche sensible auprès de Christian ESCRIVA, producteur de plantes médicinales, distillateur, formateur, auteur de nombreux ouvrages sur les plantes et sur l’aromathérapie.
J’ai suivi plusieurs spécialisations en sophrologie : enfants et adolescents, la sophrologie et le stress, accompagnement de la grossesse et de la maternité, mémoire et concentration.
Je continue par ailleurs diverses formations en psychothérapie, naturopathie, géobiologie, approches corporelles douces …
Le stress est indispensable à la vie, l’absence de stress c’est la mort …
Le mot “stress” est apparu autour des années 40, il est utilisé en physique ou en mécanique et signifie force, poids, tension, charge ou effort, de racine latine “Stingere” = rendre raide, serrer, presser.
Au 17ème siècle, il signifie “état de détresse” et renvoie à l’idée d’oppression, de privation, de dureté de la vie.
Au 18ème siècle il prend une connotation contemporaine en renvoyant à une force, une pression, une contrainte.
C’est vers les années 70 qu’apparaissent les premières études sur la dimension psychologique du stress.
Le stress a été défini scientifiquement par le Professeur Hans SELYE de Montréal en 1950 sous le nom de “Syndrome Général d’Adaptation” ou S.G.A., c’est la réponse de l’organisme face aux agressions auxquelles il est exposé, indépendamment de la nature et de la cause de l’agression.
Il existe 2 formes de stress :
– l’eustress, stress positif, entrainant des états positifs, constructifs, bénéfiques pour l’organisme ; quand le niveau de tension est adapté à la situation ou à l’action on dit qu’il est bénéfique,
– le distress, si le stress est trop intense, il provoque les effets inverses, on parle alors de “mauvais” stress ; il entraîne des déviations physiologiques, psychologiques et comportementales du fonctionnement sain.
On peut le définir comme une difficulté d’adaptation, et au-delà, un déséquilibre entre la perception qu’un individu a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’il a de ses propres ressources pour y faire face.
C’est une réponse naturelle à un stimulus extérieur ou intérieur qui agresse notre cerveau et notre corps.
A l’origine, il correspond à un mécanisme de défense de l’organisme destiné à lutter contre les agressions et à affronter les situations nouvelles …
Nos ancêtres Homo sapiens, pour qui le danger était avant tout une menace vitale (animaux, ennemis, climat …), s’adaptaient à leur environnement et survivaient grâce à lui. Pour eux, la phase d’alarme que nous appelons “stress” leur permettaient de se préparer à la fuite ou au combat afin d’éviter un danger ou une menace. Face à une agression extérieure, l’organisme mobilise ses ressources : il peut se battre ou fuir, et dépense ainsi physiquement l’énergie qu’il a accumulée dans un premier temps, pour retrouver ensuite son équilibre.
Il est important de comprendre que c’est l’émotion générée par la situation qui crée le stress, pas la situation elle-même. Deux personnes différentes ne percevront pas la même situation de la façon identique.
Le stress est SUBJECTIF ! L’expérience de chacun, l’éducation, les parcours de vie, les événements vécus influencent notre perception du stress et de ce qui est stressant ainsi que notre façon d’y faire face ou pas.
«Ce qui est important n’est pas ce qui nous arrive, mais la manière dont en le prend» Hans Selye
Se dégage la notion de stress objectif/stress perçu. Alors que le stress objectif est considéré à partir d’agents stressants externes, définis comme facteurs déclenchants, le stress perçu est lié à l’évaluation qu’en fait chacun en tant que menace ou défi pour lui-même à partir des émotions provoquées par la situation.
Le stress perçu est influencé par deux types de facteurs :
– des facteurs personnels émotionnels comme l’affectivité, l’anxiété, la culpabilité, le manque de confiance en soi, …
– des facteurs situationnels comme l’imprévisibilité, l’ambiguïté ou l’incontrôlabilité de l’événement.
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